Apparitions de Fatima

Our lady of fatima

A Fatima, au Portugal, la Sainte Vierge est apparue sept fois à trois petits bergers – Francisco, Lucia et Jacinta – entre le 13 mai et le 13 octobre 1917.

Première apparition de l’Ange (Printemps 1916)

"– N’ayez pas peur. Je suis l’Ange de la Paix. Priez avec moi.
Et s’agenouillant à terre, il baissa le front jusqu’au sol. Poussés par un mouvement surnaturel, nous l’imitâmes et nous répétâmes les paroles que nous lui entendions prononcer:
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne vous aiment pas.
Après avoir répété cette prière trois fois, il se releva et nous dit:
– Priez ainsi. Les cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs aux voix de vos supplications."

 

Deuxième apparition de l’Ange (Printemps 1916)

"– Que faites-vous? Priez! Priez beaucoup! Les cœurs de Jésus et de Marie ont sur vous des desseins de miséricorde. Offrez constamment au Très-Haut des prières et des sacrifices.
– Comment devons-nous nous sacrifier ? – demandai-je.
– De tout ce que vous pourrez, offrez un sacrifice en acte de réparation, pour les péchés dont Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs. De cette manière, vous attirerez la paix sur votre Patrie. Je suis son Ange Gardien, l’Ange du Portugal. Surtout acceptez et supportez avec soumission les souffrances que le Seigneur vous enverra."

 

Troisième apparition de l’Ange (Automne 1916)

"L'ange, tenait dans ses mains un calice et, au-dessus de lui, une Hostie d’où tombait dans le calice quelques gouttes de sang. Laissant le calice et l’Hostie suspendus dans l’air, il se prosterna jusqu’à terre et répéta trois fois cette prière:
Très Sainte Trinité, Père, Fils, Saint-Esprit, je Vous adore profondément, et Vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles de la terre, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences dont il est Lui-même offensé et, par les mérites infinis de son très Saint Cœur, et du Cœur Immaculé de Marie, je vous demande la conversion des pauvres pécheurs.
Puis, se relevant, il prit de nouveau dans ses mains le calice et l’Hostie, me donna l’Hostie, et donna le contenu du calice à Jacinta et à Francisco, en disant en même temps:
– Prenez et buvez le Corps et le Sang de Jésus-Christ, horriblement outragé par les hommes ingrats. Réparez leurs offenses et consolez votre Dieu.
Il se prosterna de nouveau jusqu’à terre et répéta avec nous encore trois fois la même prière."

Angeloffatima
 

Première apparition de Notre Dame (13 Mai 1917)

"– D’où venez-vous, Madame? – lui demandai-je.
– Je suis du Ciel.
– Et que voulez-vous de moi?
– Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois consécutifs, le 13, à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après je reviendrai encore ici une septième fois.
– Savez-vous me dire si la guerre dure encore longtemps ou va bientôt finir?
– Je ne peux pas te dire encore jusqu'à ce que je te dise aussi ce que je veux.
– Et moi aussi j’irai au Ciel?
– Oui, tu iras.
– Et Jacinta?
– Aussi.
– Et Francisco?
– Aussi, mais il devra réciter beaucoup de chapelets.
[...]
– Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs?
– Oui, nous le voulons.
– Vous aurez alors beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu sera votre réconfort.
C’est en prononçant ces dernières paroles (la grâce de Dieu, etc.) qu’elle ouvrit pour la première fois les mains, et nous communiqua, comme par un reflet qui émanait d’elles, une lumière si intense que, pénétrant notre cœur et jusqu’au plus profond de notre âme, elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu qui était cette lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs. Alors, par une impulsion intérieure qui nous était communiquée, nous tombâmes à genoux et nous répétions intérieurement:
– Ô, Très Sainte Trinité, je vous adore. Mon Dieu, mon Dieu, je vous aime dans le très Saint Sacrement.
Les premiers moments passés, Notre Dame ajouta:
Récitez le chapelet tous les jours, afin d’obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre."

 

Deuxième apparition de Notre Dame (13 Juin 1917)

Personnes présentes: 50 à 60 personnes

"– Que voulez-vous de moi ? – demandai-je.
– Je veux que vous veniez ici le 13 du mois prochain, que vous disiez le chapelet tous les jours et que vous appreniez à lire. Ensuite, je vous dirai ce que je veux.
Je demandai la guérison d’un malade.
– S’il se convertit, il sera guéri durant l’année.
– Je voudrais vous demander de nous emmener au ciel.
– Oui, Jacinta et Francisco, je les emmènerai bientôt (Les 2 enfants sont morts de la grippe, en 1919 et 1920) mais toi, tu resteras ici pendant un certain temps. Jésus veut se servir de toi afin de me faire connaître et de me faire aimer. Il veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. À qui adoptera cette dévotion, je promets le salut, et ces âmes seront aimées de Dieu, comme des fleurs placées par moi pour orner son trône.
– Je vais rester ici toute seule ? Demandai-je avec peine.
– Non, ma fille. Tu souffres beaucoup? Ne te décourage pas, je ne t’abandonnerai jamais! Mon Cœur Immaculé sera ton refuge et le chemin qui te conduira jusqu’à Dieu.
Ce fut au moment où elle prononça ces dernières paroles qu’elle ouvrit les mains et nous communiqua, pour la seconde fois, le reflet de cette lumière immense. En elle, nous nous vîmes comme submergés en Dieu. Jacinta et Francisco paraissaient être dans la partie de cette lumière qui s’élevait vers le Ciel, et moi dans celle qui se répandait sur la terre. Devant la paume de la main droite de Notre Dame se trouvait un cœur, entouré d’épines qui semblaient s’y enfoncer. Nous avons compris que c’était le Cœur Immaculé de Marie, outragé par les péchés de l’humanité, qui demandait réparation."

 

Troisième apparition de Notre Dame (13 Juillet 1917)

Personnes présentes: entre 2.000 et 5.000 

"– Que me voulez-vous? Demandai-je.
– Je veux que vous veniez ici le 13 du mois qui vient, que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours en l’honneur de Notre Dame du Rosaire, pour obtenir la paix du monde et la fin de la guerre, parce qu’elle seule pourra vous secourir.
– Je voudrais vous demander de nous dire qui vous êtes, et de faire un miracle afin que tous croient que Vous nous apparaissez.
– Continuez à venir ici tous les mois. En octobre, je dirai qui je suis, ce que je veux et je ferai un miracle que tous verront pour croire.
Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent, spécialement lorsque vous ferez un sacrifice: "O Jésus, c’est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Coeur Immaculé de Marie."

(La Sainte Vierge donne alors aux enfants 3 secrets, que les enfants reçurent chacun de façon différente. Francisco voyait l'Apparition mais n'entendait pas. Jacinta voyait et entendait. Lucia, quant à elle, voyait, entendait, et parlait avec Notre Dame.)

Ceci, ne le dites à personne. À Francisco (qui n'entendait pas les paroles de la Sainte Vierge), vous pouvez le dire. Lorsque vous réciterez le chapelet, dites après chaque mystère: "O mon Jésus, pardonnez-nous, préservez-nous du feu de l’enfer ; emmenez au Paradis toutes les âmes, surtout celles qui en ont le plus besoin."
Il y eut un instant de silence et je demandai:
– Vous ne me voulez rien de plus?
– Non. Aujourd’hui je ne te demande rien de plus."

 

Quatrième apparition de Notre Dame (19 Aout 1917)

"– Que voulez-vous de moi ?
– Je veux que vous continuiez d’aller à la Cova da lria le 13, que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours. Le dernier mois, je ferai le miracle afin que tous croient.
– Que voulez-vous que l’on fasse de l’argent que les gens laissent à la Cova da Iria ?
– Faites deux brancards. Tu porteras l’un avec Jacinta et deux autres petites filles habillées de blanc ; l’autre, que Francisco le porte avec trois autres petits garçons. L’argent des brancards est pour la fête de Notre Dame du Rosaire, et ce qui restera sera pour aider à construire une chapelle que l’on fera faire.
– Je voudrais vous demander la guérison de quelques malades.
– Oui, j’en guérirai certains dans l’année.
Et, prenant un air plus triste :
– Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs, car beaucoup d’âmes vont en enfer parce qu’elles n’ont personne qui se sacrifie et prie pour elles."

Children of fatima

Lucia, Francisco et Jacinta

Cinquième apparition de Notre Dame (13 Septembre 1917)

Personnes présentes : entre 20.000-30.000 

"– Continuez à dire le chapelet à Notre Dame du Rosaire, tous les jours, afin d’obtenir la fin de la guerre.
En octobre, Notre Seigneur viendra ainsi que Notre Dame des Douleurs et du Carmel, Saint Joseph avec l’Enfant Jésus afin de bénir le monde. Dieu est satisfait de vos sacrifices, mais Il ne veut pas que vous dormiez avec la corde. Portez-la seulement pendant le jour.
– On m’a priée de vous demander beaucoup de choses : la guérison de quelques malades, d’un sourd-muet.
– Oui, j’en guérirai certains. Les autres, non. En octobre, je ferai le miracle pour que tous croient."

 

Sixième apparition de Notre Dame (13 Octobre 1917)

Personnes présentes : entre 50.000-70.000 

"– Que voulez-vous de moi ?
– Je veux te dire que l’on fasse ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre Dame du Rosaire. Que l’on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va se terminer et les militaires retourneront bientôt chez eux.
– J’avais beaucoup de choses à vous demander : de guérir quelques malades et de convertir des pécheurs, etc.
– Quelques-uns, oui, d’autres, non. Il faut qu’ils se corrigent, qu’ils demandent pardon pour leurs péchés.
Et prenant un air plus triste :
– Qu’ils n’offensent plus Dieu, Notre Seigneur, qui est déjà trop offensé !"
Ouvrant alors les mains, elle les fit se réfléchir sur le soleil et, pendant qu’elle s’élevait, le reflet de sa propre lumière continuait à se projeter sur le soleil.

Image11

Le Miracle du Soleil

La pluie cessa à l’instant, les nuages se dispersèrent, un ciel clair apparu. De manière inattendue et inexplicable, toute la foule présente put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans en être aucunement incommodé. Devant ce si grand miracle, défiant toutes les lois de la nature, il y eut un grand silence. Mais brusquement l'astre se mit à trembler avec des mouvements saccadés. Puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il semblait s’approcher de la terre, dans un mouvement rapide de rotation, zigzaguant, au point que la foule se mit à crier. Tous se mirent à genoux, implorant le ciel. Certains s’évanouirent. Finalement tout s’arrêta et le soleil reprit son cours normal et naturel. En quelques minutes, les vêtements trempés par la pluie se retrouvaient complètement secs.

Plus de 50.000 personnes, croyants ou non, furent témoins de ce phénomène. Pourtant aucun observatoire astronomique ne l’a enregistré, ce qui manifeste son caractère préternaturel. Les journalistes présents sur place l’ont vu et raconté. Même des personnes qui se trouvaient à plusieurs kilomètres de Fatima l’ont constaté, ruinant l’hypothèse d’une illusion d’optique ou d’une hallucination collective.

"... Soudain, j'entendis le brouhaha de milliers de voix, et je vis toute cette multitude, dispersée dans le large espace qui s'étendait à mes pieds, tourner le dos à l'endroit vers lequel, jusque-là, convergeaient toutes les impatiences anxieuses, et regarder le soleil du côté opposé... Je me tournai à mon tour, vers ce point d'attraction de tous les regards, et je pus voir le soleil, semblable à un disque bien net, à l'arête vive, qui luisait sans blesser la vue... Il ne pouvait se confondre avec le soleil vu à travers la brume, – il n'y en avait d'ailleurs pas à ce moment –, car il n'était ni voilé, ni brouillé. À Fatima, il conservait lumière et chaleur, et se dessinait nettement dans le ciel, avec son bord en arête vive comme une table à jeu... Le plus étonnant est d'avoir pu fixer aussi longtemps le disque solaire dans tout son éclat de lumière et de chaleur, sans avoir mal aux yeux, et sans éblouissement de la rétine. Soudain, l'astre se mit à trembler, à se secouer avec des mouvements brusques, pour finalement tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière."

"Le soleil prenait toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, ajoute un autre témoin. Tout prenait les mêmes couleurs: nos visages, nos vêtements, la terre elle-même."

"On entendit soudain une clameur, comme un cri d'angoisse de toute cette foule. Le soleil, en effet, conservant son mouvement rapide de rotation, sembla se détacher du firmament et, rouge sang, s'avancer vers la terre, en menaçant de nous écraser de sa masse ignée. Ce furent quelques secondes terrifiantes."

Le fils de Maria Carreira, Jean, le jeune estropié, en témoigna lui aussi: "J'ai vu le soleil tourner et il semblait descendre. Il était comme une roue de bicyclette."

Une dame ajouta encore: "Je l'ai parfaitement vu descendre comme s'il venait s'écraser sur la terre. On aurait dit qu'il se détachait du ciel et qu'il courait sur nous. Il s'est maintenu à une petite distance au-dessus de nos têtes?; mais cette sorte d'attaque fut de très courte durée... Il semblait très près des gens et il continuait à tourner à l'envers."

 Dès le surlendemain de l'événement, le 15 octobre, Avelino de Almeida, rédacteur en chef de “O Seculo”, le grand quotidien anticlérical et maçonnique de Lisbonne, que nul n'aurait pu soupçonner de prendre parti en faveur de cette affaire, rapporta ainsi le miracle dont il fut le témoin ébahi: "Depuis la route, où s'étaient massées les voitures, et où plusieurs centaines de personnes étaient demeurées, faute d'avoir assez de courage pour s'avancer à travers le terrain boueux, on voit l'immense multitude se tourner vers le soleil qui apparaît au zénith, dégagé des nuages. Il ressemble à une plaque d'argent mat, et il est possible de le fixer sans la moindre gêne. Il ne brûle pas les yeux. Il n'aveugle pas. On dirait qu'il se produit une éclipse. Mais voici que jaillit une clameur immense, et ceux qui sont plus près de la foule l'entendent crier: Miracle! Miracle!...Merveille!... Merveille!...Aux yeux éblouis de ce peuple, dont l'attitude nous transporte aux temps bibliques et qui, stupéfait, la tête découverte, contemple l'azur du ciel, le soleil a tremblé, le soleil a eu des mouvements insolites et brusques, en dehors de toutes les lois cosmiques, “le soleil a dansé”, selon l'expression typique des paysans."


 

Les Secrets de Fatima

Lucia (1941): « Le secret comporte trois choses distinctes, et je vais en dévoiler deux.

La première fut la vision de l'Enfer.  Notre-Dame nous montra une grande mer de feu, qui paraissait se trouver sous la terre et, plongés dans ce feu, les démons et les âmes, comme s'ils étaient des braises transparentes, noires ou bronzées, avec une forme humaine. Ils flottaient dans cet incendie, soulevés par les flammes, qui sortaient d'eux-mêmes, avec des nuages de fumée. Ils retombaient de tous côtés, comme les étincelles retombent dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, avec des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. Les démons se distinguaient par leurs formes horribles et dégoûtantes d'animaux épouvantables et inconnus, mais transparents et noirs.
Cette vision dura un moment, grâce à notre bonne Mère du Ciel qui auparavant nous avait prévenus, nous promettant de nous emmener au Ciel (à la première apparition). Autrement, je crois que nous serions morts d'épouvante et de peur. Ensuite nous levâmes les yeux vers Notre-Dame, qui nous dit avec bonté et tristesse: "Vous avez vu l'enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs.

Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur immaculé. Si l'on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d'âmes seront sauvées et on aura la paix. La guerre va finir. Mais si l'on ne cesse d'offenser Dieu, sous le pontificat de Pie XI en commencera une autre pire encore. Lorsque vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c'est le grand signe que Dieu vous donne, qu'Il va punir le monde de ses crimes par le moyen de la guerre, de la faim et des persécutions contre l'Église et le Saint-Père. Pour empêcher cette guerre, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis. Si on accepte mes demandes, la Russie se convertira et on aura la paix; sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde (L'idéologie communiste et les valeurs antichrétiennes bien présentes aujourd'hui.) , provoquant des guerres et des persécutions contre l'Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, diverses nations seront détruites. À la fin, mon Cœur immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie, qui se convertira, et il sera concédé au monde un certain temps de paix."

 

Le 3e Secret, tel qu'il a été présenté au monde en 2000, semble incomplet.

Francisco voyait l'Apparition mais n'entendait pas. Or, la Sainte Vierge a demandé à Lucia de lui donner les paroles du 3ème secret (qu'il ne pouvait entendre). Le 3e secret ne peut donc pas contenir une simple vision comme celle présentée en 2000, mais bien des paroles de la Sainte Vierge. Car si le 3ème secret devait être dit à Francisco pour qu'il le connaisse, c'est qu'il ne contenait pas seulement une vision.